VERS DE PROSE

Quand les graines se sèment à l’heure du petit jour quand le jour est labeur, quand la peur s’met à jour

Et l'écart sur les corps devient millimétrique, entre nos peaux pas d'air : des frissons pléthoriques

T'aimer était essence « pas peur des quinze étages » aimer à l'évidence donne du cœur à l'ouvrage ! Imaginer demain...

Mon corps en long ce jour espère le tien encore tout doux tout lent toujours en mon tout chaud décor !

En certitude acquise que ce jour fournira à nos temps réunis des émois de couleurs...

Ton dessus est sans ciel le bleu plutôt marine tes dessous essentiels moi je les imagine en des bleus azurés

L’un p’tit peu dingue de notr’ bilingue c’est que ce dingue dure sur le zinc c’lui qui vit naître notre idylle celui qui recouvra les tuiles

Quand en chemin de faire omnibus obstiné, micheline d'enfer la vie fut tortillée...

Je la prose je la rime je l'encarte en adresse je l'écris je l'ultime...

Quand sont supports d'azur permettant teintes vives sur canson sur mesure acryliques estives où l'herbe en tendre vert s'encre en...

Just’ quand nos peaux se font dispos st qu'elles se frottent dans ma tête trotte

Amant de Séléné sans doute c'lui d'Artémis croissant à la pleine lune ta vie était d'château mais d'Héra tu t'épris le premier des râteaux..