VERS DE PROSE

La bande des ultrariches nous rase rasibus nous laisse trois pois chiches en guise de quitus

« Peut-être mais pas que ! Certes il est beau je l’aime En érigée vigueur Ou en tendre douceur Quand il se fait poème

En sphère Boloréenne sont les pros de la haine, Pascal Cyril Éric de vrai mâles qui ont la trique qui se rêvent polygames

Il espère jardiner compost mi boue mi tourbe, ignorant tant de maux qui le plongent en sa bourbe...

Jupiter en éclipse a fini de briller, Henri IV s'embourbe en bas fonds Betharram !

La lumière devient claire, le chemin devient blanc, le sentier devient pierre

Au commenc'ment la terre était un peu casse-cou

Quand tu montais à cru par le mont par le val, descendant les rivières de l'amont vers l'aval

Il était Jupiter maintenant il se fait Mars...

Pour le nouvel opus, le printemps fait focus...

Pourquoi n'est-ce pas Ève qui posa pour Courbet ?

Qu'ils sont laids et pédants ces cravatés mielleux qui se savent corrompus mais qui dans le fielleux

Dans les nuances claires d'une aurore de pâleur Je cherche le rouge éclair qui offrira bonheur Qui présent'ra sa fleur aux esquisses de...

C'est tellement pro qu'c'est net ! C'est tellement placébo, c'est tellement collabo, ces petites marionnettes !

La forêt était en train de disparaître, mais les arbres votèrent encore pour la hache,

Avant que n’arrive le présent Qui soit valide en quarantaine, Avant que n’arrive le plaisant Et par la poste ce s’ra huitaine,

En rêve nostalgique de tsar d’URSS...

Bien mises en examen bien mises toutes en col blanc Nicolas en loup blanc...

Maint’nant c’est prêt c’est tout près d’elle une p’tite licence un tout p’tit bar

Je rêve de transport où la vapeur des voiles enroberait les vagues