top of page

Conjonction de subordination

  • Photo du rédacteur: Jean-Marie
    Jean-Marie
  • 3 févr.
  • 2 min de lecture

J'ai enregistré le texte de ce complexe grammatical et olympien !


















Conjonction de subordination







Est-ce le quand est-ce que qui fait que lourde est la

Conjonctive ordonnée somme toute circonstancielle

Envoyant SOS entre la terre et l'ciel

Quand l'orage en dantesque semble donner le la ?


Où parc'que détonnant, en parafoudre cuivré,

Ordonnées et abscisses verbalisant le lieu ?

Est-ce à Zeus ou à Thor bien sage ou périlleux

D'offrir de l'étonnant ou du fou bien givré ?


Quand la foudre zigzague depuis la main à dieu

On dit la main de Dieu majusculant le D !

La main De dieu OK et le pied de Dédé

Qui pousse vers le goulag pour un dernier adieu !


Sois gentil mon Robert et dis au-r'voir à dieu

Tu ne t'attir’ras pas les foudres de travers

Puisque c'est à Zeus à tort qu'on prête le tonnerre

Ou à ce Jupiter qui se veut dieu des dieux.


Le lent  travers de port qu'on fait à la godille

Avec la peur au ventre que ce soit ciel qui tombe

Quand sur la tête on r'çoit par tonnes de l'eau en trombe

L'paratonnerre à bord c'est rien qu'une bordille !


Pourquoi dis-tu Robert ? Serait-ce pour dictionnaire ?

Et dire au-r'voir adieu n'est-ce pas contradictoire ?

Moi je préfère écrire : j'dis à Dieu que j'veux l'voir

Et toucher ses roberts en faisant  l'missionnaire.


Toucher les saints de Dieu en évangélisant ?

Waouh! Comme tu y vas...Tu m'feras des dessins !

Mais non pas ceux de Dieu d'ailleurs il n'a pas d'seins

Mais ceux-là tout radieux de ma Dame de Caen !


Ses desseins météo est-ce uniqu’ment la foudre

– Je parle de ceux de Thor qui sont photogéniques –

Quand celle-ci se fait mâle qu’elle futaille qu’elle barrique,

Voire aussi quel tonneau pour mettre du grain à moudre...


Je sais le muid pour grain eut été mieux qu’futaille

Comme quand le quand est-ce que adverbialise le temps

Qu’les volumes en sonore assourdissent les tympans

Qui cornichent pour les saints ou décorent les portails…


Tympan corniche portail parvis de cathédrale

Dessins architectures art sacré déité

Vers Dieu tu es rev’nu sage réalité

Tu évites représailles et objectes au Tantale


La foudre de papa Zeus le foudre de Bacchus

De Thor tu prends l’travers en traversée de port

Dessinant des icônes vers Saint-Pé-de-Bigorre

Subordonnant les lœss qui se font collapsus


Et puis des remontrances de l’abus GPS

Qui abscisse longitude et ordonne latitude

Pour t’indiquer le lieu en force et magnitude

Du foudre d’importance qui t’impos’ra l’ivresse.


Lors tu pourras l’ami et en toute quiétude

Aimer ton amour bel l’aimer en principale

Sans ombres circonstancielles l’aimer en récital

En lit doux d’accalmie et en tendre gratitude


Comment cela se fait-ce conjonctivant l’histoire,

Où est donc Ornicar coordonnant l’futur 

Ne s’ront propositions à la belle aventure

Qui me porte et me berce vers des demain mémoire !


Les relatives non plus ne changeront pas l’état

Si naguère j’ai failli ce jour j’existe et j’aime

Et je suis en amour sans l’ombre d’un dilemme

Et je suis résolu à n’pas changer d’delta !


Jean-Marie Giraud

Villemus le 18 septembre 2019


Commentaires


Abonnez-vous
  • Facebook - White Circle
bottom of page