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Déferlance

  • Photo du rédacteur: Jean-Marie
    Jean-Marie
  • 9 févr. 2024
  • 1 min de lecture






Je me méfie parfois... J'écris juste en direct et puis je fais des fautes, des fautes grossières souvent... Le manque de vigilance... Des fers, des lances... déferlance. Quand en "Peut-être quand" quand janvier présidait, quelques-uns, quelques-unes ont compris que, quand même, les mots sentaient l'amer, je rassure, je susurre, j'ôte un peu la blessure... Défaire un peu pour mieux reconstruire, et lancer le bouchon loin dans les herbes hautes pour que la boule vienne juste caresser le but !...



En déferlance d'amour 

Le corps villégiature

L'esprit en filature

Le cœur en vraie nature

J'entends les sons de courre.

Est-ce la biche en moi

Qui prête un peu son œil

Qui chasse le chevreuil 

Qui aime passer le seuil

Et qui se serre à toi ! 

 

Les corps par cœur

Je veux connaître

Des cors en chœur

Je veux m'repaître.

 

En déferlance bonheur

Nos corps sont sans laisse

Nos esprits sans cesse

Nos cœurs se pressent 

Je te perçois sans leurre.

Est-ce le cerf en moi

Qui clame qui crie qui brame 

Qui rée qui’écrit qui slame. 

Qui aime qui court qui s'damne 

Et qui biche pour toi?

 

Pour cœur à corps

Je veux renaître 

Et de t'aimer encore

Je veux m'repaître.


Jean-Marie Giraud

Lyon le 21 octobre 2018

 


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