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Effet fesses

  • Photo du rédacteur: Jean-Marie
    Jean-Marie
  • 6 déc. 2020
  • 12 min de lecture

Dernière mise à jour : 3 janv. 2021






En glanant quelques aphorismes sur la toile, j'ai pu en réunir trois qui abordaient le thèmes des fesses ... Avec pudeur et humour, admiration aussi pour le callipyge, je tente un tour d'horizon dans la dissertatin !


« Je n’aurai pas pu être boucher, j’avais pas le cœur. Je n’aurai pas pu être matador, j’avais pas les tripes. Je n’aurai pas pu être Bardot, j’avais pas les fesses » Pierre Desproges.


Sujet : à partir des trois aphorismes ci-dessus énoncés, tentez d’apporter un éclairage suffisamment luminescent pour donner envie au lecteur/à la lectrice de continuer à creuser le sujet.


Avant toute autre approche ou commentaire de ces trois phrases laissées en pâture dans mon pré carré du 14 octobre 2019, je souhaiterai vous faire part de la singularité de l’étymologie du mot qui rassemble les trois citations ci-dessus proposées : fesses. Le mot fesse a pour origine le mot fissa en latin vulgaire (c’est le cas de le dire !) qui signifie : « anus, cul » d’une part et d'autre part le mot fesses au pluriel, de fissum « fente » qui est le participe passé substantivé de findere « fendre ». La fente est devenue fesses ! Comment ce qui avait attrait au fendu, à la fente, à l’orifice, à la fissure a donné naissance et nom à un globe charnu bien que rarement singulier, des globes jumeaux et pleins cachant l’intime ! Agnès Pierron dans son dictionnaire des mots du Sexe » résumait ainsi le paradoxe : « Étrange renversement du manque devenu masse » (éditions Balland 2010) . Patrick Grainville s’étant rendu compte lui aussi de cette bascule sémantique l’exprima ainsi : « Le prestige des fesses est donc intimement lié à un tour de passe-passe langagier, les fesses imbriquant dans un tout ambigu et solidaire la brèche et la bosse » (Le paradis des orages, 1986 le Seuil, collection cadre rouge). Les fissures se chargèrent de chair et de muscle pour se cacher d’elles-mêmes et remplacèrent petit à petit les « naches » issues du latin classique nates pluriel de natis qui signifient tout simplement fesses. « Si j’ai bien compris, le paillard qui lobe sa femme commet la fornication et touche la nache de la mignotte avant de gésir. » (Mots médiévaux sur l’amour). En cette époque médiévale, il existait une fesse entre les deux naches ou nages, aujourd’hui, par un jeu de passe-passe les naches ont pris retraite, la fesse est devenu pluriel, deux culs pour faire une fente qui se scindant en deux se sont faits monticules.


Coluche disait : « L'Espagne aussi c'est bien, puis c'est pas loin au moins et c'est sympa. Mais dis donc, ce que je savais pas l'Espagne c'est à quel point c'est pauvre. Y'a pas de viande ! La boucherie c'est un cirque, d'ailleurs c'est dans un cirque, ils tuent les bœufs à l'épée, vous saviez ça ? Ils lâchent un bœuf, et y'a un mec qui rentre avec un costard à paillettes, pratiquement habillé en poisson parce que ils ont pas de viande mais les bouchers sont bien sapés hein ! Il arrive là le mec, il court après avec son épée, il l'énerve avec son manteau et tout et à chaque fois qu'il le rate les mecs qu'attendent pour bouffer : - « Olé ! ! » Y'a un bœuf, y'a un monde ! Le mec qui le tue il a deux oreilles et la queue, c'est pour vous dire la misère ! ». Cette approche qui est une réalité transpyrénéenne, Pierre Desproges devait bien la connaître puisqu’il a fait choix d’orientation vers une alimentation d’avantage végétarienne excluant deux métiers ayant trait à la consommation de viande : la boucherie et la corrida, ne se sentant pas suffisamment armé en cœur et en tripes, mais n’excluant pas celui de faire l’acteur à condition bien sûr de ne pas faire l’actrice et plus particulièrement celui de brigittebardoter dans la célèbre scène du film « le mépris » de Jean-Luc Godard. « Et mes fesses, tu les aimes mes fesses ? » brigittebardote-t-elle à l’attention de Michel Piccoli. Contrairement à Polnareff, Pierre Desproges n’a jamais montré ses fesses et ce pour la simple raison de ne pas en posséder une paire qui ressemble à celle Brigitte. Cette réticence est sans doute dû à son érudition et à sa culture qui lui fit retenir quelques aphorismes de Roland Topor dont celui-ci qui peut servir de transition : « Il faut être indulgent avec les acteurs, les défauts qu'on leur reproche ne s'appliquent jamais à celui que l'on croit. ».Et sans doute faut-il pardonner à Pierre Desproges son principal défaut qui n’est pas celui de n’avoir pas les fesses de Brigitte Bardot, ce serait là faire peu cas de sa plastique sculpturale, mais ne pas savoir si ces dernières (ses fesses d’homme et d’acteur) plairaient à Michel Piccoli ou même à Jean-Pierre Marielle – qui dans les Galettes de Pont-Aven s’exprime sortant de sa torpeur : « Ce cul, ce cul, j'ai jamais rien vu d'aussi beau ! » en s’extasiant sur le fesses rebondies de Jeanne Goupil !


Une paire de fesses pense-t-elle s’interroge Bernanos liant sa destinée (la destinée de la dite paire) à celle de l’académie française ? George Bernanos, à travers cette affirmation nous oriente vers deux possibles distincts : 1) je pense avec mes fesses et ce faisant j’ai de grandes chances d’intégrer l’académie française associant l’assise de la pensée et l’assise physique sur la chaise ou sur le banc et 2) l’académie française est un lieu rassemblant tellement peu de belles pensées que je pourrais y prétendre qu’à condition que le siège de mon esprit passe de ma tête à ma paire de fesses. L’éventualité que le siège de l’esprit puisse être contenu dans la paire de fesses qui sert d’assise au corps fatigués et vieux des académiciens semble être contenue dans la phrase de Georges Bernanos. Sur un plan strictement morpho-physiologique les deux hémisphères du cerveau ne ressembleraient-ils pas aux deux formes sphéroïdes des fesses ?


Les nutritionnistes le savent bien, le cerveau, parce qu’il est d’une constitution spécifique, a des besoins nutritifs spécifiques. Le cerveau s’alimente essentiellement de glucose et d’oxygène. De plus, le cerveau a aussi besoin de corps gras. Car il est lui-même constitué de 30% de graisse. C’est la raison pour laquelle il faut lui apporter des graisses insaturées comme les oméga-3 et les oméga-6 car elles entrent dans la formation des cellules cérébrales. Par exemple, en consommant de l’huile d’olive, du poisson ou des fruits secs, on observera une moindre détérioration des facultés émotionnelles et intellectuelles. Les nutritionnistes le savent bien, les fesses, parce qu’elles sont de composition particulières ont des besoins spécifiques. Les fesses s’alimentent essentiellement de glucose et d’oxygène.De plus, les fesses ont aussi besoin de corps gras. Car elles sont elles-mêmes constituées de 30% de graisse. C’est la raison pour laquelle il faut leur apporter des graisses insaturées comme les oméga-3 et les oméga-6 car elles entrent dans la formation des cellules d’assise qui cachent les intimités des êtres. Par exemple, en consommant de l’huile d’olive, du poisson ou des fruits secs, on observera une moindre détérioration des facultés à rester assis sur son séant et ainsi à fabriquer plus longtemps de la matière intellectuelle. L’analogie alors peut se faire tant dans la forme que dans les formes. Certains parce que hauts placés prennent la grosse tête ou le melon, souvent par hydrocéphalisme sans doute lié à un déséquilibre nutritionnel privilégiant d’avantage les nourritures liquides de l’esprit surchargées de sucres rapides dissolus et dissous (et dix sous c’est beaucoup) dans la bouteille rouge qui fête ses cent ans et qui ne laisse guère de part de cerveau disponible pour ne pas regarder TF1. Le général de Gaulle lui-même (himself) ne se plaisait-il pas à reprendre l’aphorisme de Michel de Montaigne : « Si haut que l’on soit placé on n’est jamais assis que sur son cul ! » et, les académiciens le savent sans doute plus que d’autres, leur immortalité induit nécessairement une altération escarratique de leur paire, que certes ils partagent avec leurs pairs, mais dans la souffrance des pertes de capacités que ces dernières soient physiques ou intellectuelles. Les fesses, elles-mêmes perchées sur des trônes très haut placés, présentent exactement les symptômes que le cerveau : elles ont tendance à se confire dans le gras, à s’étaler sur les chaises Empire des salons où l’on déguste des produits light du bout des doigts en parlant avec un accent de cul de poule des dernières nouvelles du président du Sénat et des mocassins à glands du mari de Pénélope qui comme Ulysse a fait un beau voyage autour des cours et des prétoires !


Georges Bernanos, qui a refusé un poste de ministre à la libération, celui dont le Général de Gaulle avec l’humilité qu’on lui connait et en grand libérateur de la France a dit : « Celui-là, je ne suis jamais parvenu à l'attacher à mon char », n’a pas été élu à l’Académie Française et ne s’y est d’ailleurs jamais présenté. Il s’est contenté de recevoir le grand prix du roman de la dite en 1936 pour son livre intitulé : « Journal d’un curé de campagne ». Il est mort en 1948 d’un cancer du foie à 60 ans ce qui tendrait à induire que sur le plan nutritionnel, il n’était peut-être pas des plus vigilants si bien que son cerveau peut-être – encore que personne n’en a parlé en 1948 – mais surtout sa paire de fesses ne fut pas suffisamment bien alimenter pour avoir la capacité de penser à la hauteur minimale acceptable pour se poser à l’Académie Française !


Afin de trouver une transition, je me vois obligé de citer à nouveau Roland Topor qui aura eu le privilège du transit conceptuel comme celui de l’achèvement du traitement et de la transformation de cet essai philosophique et politique. Il a dit, et je prie les âmes sensibles et les culs serrés de ne pas monter sur leurs grands chevaux : « Il se fabrique autant d'excréments dans les circonvolutions cérébrales que dans les intestinales, mais la merde mentale s'évacue moins régulièrement, et surtout moins facilement. ». Quand je disais transit ! L’intestinal qui vient au secours du cérébrospinal n’est-ce pas du pain béni pour les aficionados de la rime ? Cet aphorisme va bien dans le sens de ce que je tentais d’indiquer ci-dessus. Quand il n’est plus possible d’évacuer et/ou de transformer les nourritures mal ou peu adaptées, le cerveau comme le cul gonflent. Et souvenons-nous de fissa qui signifie cul.


Qu’est-ce qui fait serrer les fesses ? C’est une question centrale à la problématique qui nous mobilise actuellement et centrale de part des aspects multiples même si l’orifice ne peut être qu’unitaire. Et qu’est-ce que la société dans cette aphorisme de Topor ? Et quand réponse aura été donnée dans la définition de société, une autre apparaîtra : que sont les fesses de la dite société ? Oui car pour pouvoir les serrer, il convient d’en avoir : demandez à un manchot de serrer les poings, il risque de vous bottez les fesses en crispant les mâchoires !


Selon le Centre National de Ressources Textuelles et Lexicales , la société, dans son acception II grand B petit 1 – soit celle qui nous intéresse ici compte tenu du positionnement en qualité d’illustrateur, de dessinateur, de peintre, d’écrivain, de poète, de metteur en scène, de chansonnier, d’acteur et cinéaste français de Roland Topor –, « est une communauté d'individus organisée autour d'institutions communes (économiques, politiques, juridiques, etc.) dans le cadre d'un état ou plus généralement dans le cadre d'une civilisation à un moment historique défini. La société actuelle, la société démocratique, la société civile, la société bourgeoise, la société de consommation, une société permissive, la société capitaliste, une société totalitaire, la société actuelle, la société occidentale, la société chrétienne, une société archaïque, une société patriarcale, une société primitive, une société matriarcale… » Oui il en est beaucoup de sociétés, et si on y ajoutait celles définies dans son acception III grand A qui est une association d'individus soumis à un règlement (pouvant être juridique), fondée sur une communauté d'idées, d'intérêt(s) ou de travail. Société d'anthropologie, d'auteurs, de bibliophiles, de bienfaisance, de concerts, d'encouragement à, de gens de lettres, de géographie, de gymnastique, d'histoire, de secours mutuels; société fraternelle, littéraire, philharmonique, populaire; académies et sociétés savantes... L’analyse pour ces dernières devient trop complexe. Devenir le membre à part entière d’une société qui sert les fesses, et ce faisant contribuer à rétrécir vos espaces de liberté individuelle, devient une compression difficile à supporter pour les tympans, et pour le nez une atmosphère lourde où l’air se vice du fait de la trop grande attente de la délivrance sigmoïdale ! Tentez d’imaginer le faciès d’un membre d’une société philatéliste tentant de décoller un timbre rare d’une lettre d’amour de 1881 en ayant la taupe au guichet et vous aurez réussi à définir ce que peut être le rétrécissement des espaces de liberté individuelle, si nous dissertions sur ce type de société là, ce qui n’est pas le propos vous l’aurez compris !


La société bourgeoise a-t-elle le feu aux fesses ? Si elle les serre c’est l’amour bourgeois quand elle desserre c’est l’amour libre et pourtant chacun sait que c’est bon quand le concert !

La société démocratique tortille des fesses ? Elle tergiverse à comptabiliser les bulletins blancs parce que les politiciens serrent les fesses : la peur d’être envoyés en parcours intestinale pour une remise à niveau de leur sphincter anal!


La société civile qui n’y va que d’une fesse ? Les membres qui la composent agissent un peu mollement sans entrain et sans fougue, sans doute la peur de ne pas trouver le compromis (donc selon l’étymologiste de renom Michel Colucci : « chose due ! »)

La société totalitaire qui nous met la police aux fesses ? Ses membres ont des matraques et n’agissent pas mollement. Ils traquent les citoyens qui émettent des doutes tout en serrant les fesses : la peur est dans la rue c’est la peur du dictat !

La société permissive est-ce une histoire de fesses ? Comment cela se fait-ce ? Entre vos fesses fissa ? Il a fait vite quand même ! Fissa un mot arabe ? Tu aurais dû serrer les fesses ! Mais si je les serrais plus d’espace de liberté individuelle pour le membre de la société de bienfaisance…


La société patriarcale induirait-elle qu’ici il y a de la fesse ? Le coquin de Blaise (non pas le Pascal qui était sous pression dans ses Pensées avec le baromètre à zéro en haut du Puy de Dôme) Cendrars écrivait dans « La main coupée » : « Tâchez de radiner par ici. Dis aux copains qu'il y a de la fesse et que tous les soirs je joue de la mandoline avec une jolie marraine de guerre ». Est-ce à la société matriarcale de les serrer ?

La société matriarcale accepterait-elle qu’on lui mette la main aux fesses ? La mainmise de la société phallocratique sur les fesses des Dames est incontestablement une réalité. Mais en kakemphaton ne dit-on pas « Vous me connaissez mal : la même ardeur me brûle et le désir s’accroît quand l’effet se recule » et l’effet reculant faut-il serrer les fesses ? La société chrétienne dit de le faire et elle enjoint ses ouailles à rétrécir les espaces de liberté individuelle entre l’esprit et le corps, entre le cœur et le cul ! Pourtant le désir s’accroît quand les fesses reculent !


Enfin la société actuelle n’en aurait elle pas plein les fesses et même plein le cul pour parler vrai et franc ? L’hyperconsommation lui a fait gonfler les fesses à coups de Sprite et de surbouffe malbouffe Burger Mac do j’en passe et des plus dégoulinants… Elle a beau se défendre de restreindre nos espaces de liberté individuelle en tentant de nous faire croire, l’air de rien, en des ersatz d’air pur et de nature préservée, alors qu’elle les serre tant qu’elle peut ses deux fesses énormes. Plus son désir de puissance gonfle et plus ses fesses se serrent de peur de ne plus arriver à cacher le nauséabond des gaz qui sont prémices. Elle recule tant qu’elle peut l’aboutissement de son transit grotesque : serrer les fesses pour ne pas montrer dans quelle merde elle nous a mis


Après ce tour d’horizon rapide et non exhaustif qui tourne autour des fesses, mais les dites bien sûr dans leur sens moderne, vous penserez peut-être que je suis pygocole/pygophile et vous n’aurez pas complètement tort. Oui comme Georges Brassens je pourrais dire : « Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant n'enlève à vos attraits ce volume étonnant au temps où les faux culs sont la majorité, gloire à celui qui dit toute la vérité ». En écrivant ses mots et en les mettant bout à bout, j’ai appris qu’en étymologie le mot fesses était un énantiosèmie puisqu’il (le mot fesses) revêt deux sens contradictoires. La précision du langage a sens ! En tentant de superposer et de juxtaposer les mots proposés en aphorismes par trois talents décédés trop jeunes, j’ai proposé des pistes de réflexion. Le lecteur, la lectrice disposera de les creuser un peu plus ou non. Je retombe ainsi sur mes pieds et peut-être même sur mes fesses en assise bien stable par rapport au sujet à traiter. L’acribologie dont j’ai fait preuve tout au long de ces quelques pages en appelant un chat un chat, une fesse une fesse et en ne dérivant pas vers les tendances langagières actuelles qui imposent le politiquement correct, relève de mon souci de l’ekphrasis positionnant les fesses comme une œuvre d’art à condition de ne point les serrer trop. Les canons qui sont en vogue aujourd’hui obligeant le glabre en mont de Vénus pour les dames, de tirer les rides, de retendre la peau de s’faire refaire les seins sont exaspérant ! D’autant et il faut le souligner comme l’a fait Vincent Roca : « Se faire refaire les seins ça coûte la peau des fesses ! ».


Enfin, dans la société qui dicte le bien penser, qui régie meurs et us est apparue une contradiction flagrante. Certes les fesses n’en sont pas le sujet principal mais celles-ci si elles se détendent un peu le laisseront apparaître. La société occidentale en prenant conscience de l’importance de l’écologie préconise le végétarisme que certains amplifient en le faisant véganisme ! Cette tendance ne risque-t-elle pas à terme de remettre en cause le comportement sexuel des humains ? Roland Topor le dit avec ses mots : « De conin, qui signifiait lapin en vieux français mais désignait également le sexe féminin, ne demeure que le con. On a remplacé lapin par chatte. Le sexe est devenu carnivore. » . Si le sexe est devenu carnivore en pleine époque végétarienne même le loup de mer ne pourra plus être dégusté sans prendre le risque des foudres bienséantes ! Bienséante ? Bienséante : « Qui est en rapport de conformité ou de convenance avec l’usage de la société ou les règle de la morale ». Séant : participe présent de seoir. Seoir : synonyme d’asseoir. Et sur quoi s’assied-on ? Sur ses fesses pardi !


Cette dissertation quand même « est aussi bien de fesse que de face » aurait dit Raymond Queneau !


Jean-Marie Giraud

Revest-des-Brousses, le 16 octobre 2019



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