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Qu'il est vain Février

  • Photo du rédacteur: Jean-Marie
    Jean-Marie
  • 20 févr. 2024
  • 1 min de lecture




Dimanche 18 quelques mots posés chargés d'espoir... Et puis le lendemain et au petit matin du lendemain du lendemain... L'espoir changea de rive...



Fermer la parenthèse

 

 

Dans les méandres futiles de la mémoire des sens :

Sur mes lèvres une parcelle d’une rosée février

Sur le bout de ma langue une gouttelette d’elle

Un regard grain de peau qui circonscrit l’réel

Une courbe, une volute ça tourne et fait vriller.

 

C’était hier fantasme, l’idée que prennent sens :

Le corporel des chairs peaux grains genévriers

Des seins une gorge des fesses ses mots de poivre de sel…

Les mots furent assassins, des gros, des sots tels quels

Qui taillent qui blessent qui coupent qui râpent et font saigner...

 

C’était hier c’est dur, c’est l’hiver encore plus :

Les corps se desagréent les caves vers Chauffayer,

Et Corps n’est plus un centre, mauvaise fermeture,

Le rideau est tombé plus de villégiature...

La solitude des corps encore embroussaillés…

 


Jean-Marie Giraud

Corps, le 20 février 2024

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