VERS DE PROSE

Là-bas, nous trouvâmes Maxime ceinte d'un fin ruban d'Argens lors que son Maximin l'était (ceint) même si sa Garde dépassait du caleçon !

Allions nous Calais là, grisés par le Blanc Nez blanchis par le Gris Nez

le Puy n'hante que les bigotes et les filles de geôliers et les digues dondaines...

Je voulus voir Morteau on a vu Montbéliard, Vesoul n'était pas loin et Vierzon bien en Cher...

Nous fîmes étape à Corps et nos agapes à Gap pour traverser les Alpes

Aurais-je dû cédiller afin de dire déçu je suis déçu lassé de sentir les soupapes...

Réprimer l’irrépressible ne réparera pas la réduction des rémunérations des régimes régis par la réfection des réflexes récursifs

Le berger des troupeaux aime l’astrologique...

Si la porte a du charme elle ne peut être de Fresnes...

Aujourd'hui c'est dimanche et je tente de remettre un peu de vie dans ce blog lâchement laissé à l'abandon depuis des mois ! Je fais...

Il était une fois un gros poisson pilote Qui vivait au grand frais dans sa petite roulotte. Son amie la plus chère était une chouette hulot

Si demain nous coupions ensemble en bras mer

D'effets il n'en est plus quand les fesses sont à nu peut-être celui de serre

Ainsi sont tous les os transportés par axis, ses voisines cervicales et jusques au coccyx,

C'est si thé pour pleurer ! Tu n'en crois pas tes yeux ! Tu penses c'est pas sérieux

Tout d’même les tubulures ! Les corps sages échancrures supplient dame nature...

En lourdes carabinades [1], en histoires chiffonnades, mais sans divulgâcher [2] je tente d’être le nocher [

Je tente d’être le nocher d'un voyage à Cythère en amour barlotière afin que nos vies trop belles aient couleurs vitraux !

Elle devint c'est écrit amanite rougissante puis changeant de couleur amanite safran

Une p’tite Aronde qui s’hirondelle moitié chât’laine mi océane, un moteur Fiat qui étincelle