VERS DE PROSE

Vos envies de bonne chère en bulles apéritives : lèvres mouillées Champagne

Les années n'sont en somme que la somme des nous sommes !

Je tente d’être le nocher d'un voyage à Cythère en amour barlotière afin que nos vies trop belles soient comme vitraux !

Elle le trouve beau l'garçon torturé du crayon il est artiste un peu et du verbe il tente jeu.

Il est panache il est friand il communique c’est l’opéra c’est l’opérette en gynécée

Ne pas changer demain, de monts ni de décor !

Dire qu’à partir de là ils dégustèrent serait mettre la charrue avant les bœufs

Jours plaisants bienfaisants, quand ça m'dit avec vous de poser ch'min faisant

Dans les temps colorés de mes moments arides, dans les canaux herbeux mes lacrymales se vident

Le Saint-Pierre de l’enfer en serrurier Bourbon Se dit : « Il faut le faire et cette fois pour de bon Le mensonge étatique qui dit vrai tran

Quand sur tes lèvres se lisent des envies gourmandise

Entre ! Mon amour entre ! Installe-toi dans mon antre ! Entre ! Mon amour entre ! Chez-moi mets-toi au centre !

Volant se sent le cerf et sensible aux éthers que les biches espiègles

Tu sais que nos esquisses depuis longtemps se tissent…

Derrière la jalousie j’imagine son corps Je sais que son sein rond peut caresser la toile Quand sa main bien habile se dessaisit du voile...

Ce pas grand-chose ce presque rien cette vie déjà qui s'était faite qui était là qui était fête

Je suis là panne de cœur, je te sais là j'ai peur, dans ma main j'ai trois fleurs... Arythmie du bonheur...

Vous dites qu'elles sont réglisses nos tresses de bonheur confites et vanillées scintillantes sous le jour

Ces perles de vie d'nos goûts d'envie ces perles nacrées d'nos cœurs sucrés sont des sourires pour nous souder !

Avril fut bien têtu confins des confiture, la question le sais-tu s’entendait en nature presque versus culture